Ainsi soient-ils : résumé de l’épisode 7
Raphaël règle les affaires familiales mais n’a plus de parts sociales dans l’entreprise, ce qui lui cause de petits problèmes. De son côté, Yann retrouve Fabienne qui lui apprend au coin du feu qu’elle s’est fiancée à un autre scout.
Les discussions reprennent au Vatican sur fond de conflit chinois. Le Père Fromenger va à Rome et négocie avec le Pape lui-même, bien qu’il soit particulièrement « rétif à la négociation ». En publiant un avis défavorable au choix de Pékin, « Sa Sainteté a agi trop vite et elle le sait, mais elle n’aime pas être prise en faute », dit-on alors au Père Fromenger.
Puis c’est une nouvelle explication entre Guillaume et Emmanuel au sujet de leur première nuit ensemble :
– L’amour, on doit apprendre à le vivre autrement, à faire un don à Jésus, dit Guillaume à Emmanuel.
– Tu peux arrêter d’être lugubre ? lui répond celui-ci.
– C’est ça le sens de notre engagement, l’amour de tous les hommes, explique Guillaume.
– Ce n’est pas tous les hommes que j’aime, réplique Emmanuel.
La sœur du séminaire se déguise pour mardi gras et chante sur le podium, pour le plus grand plaisir des séminaristes, pendant que les familles essayent d’entrer dans l’immeuble de la famille de Raphaël. Mais malheureusement, des vigiles ont été appelés par celui-ci…
Puis c’est le mercredi des cendres. De passage chez ses parents, Yann retourne parler aux arbres. Guillaume et Emmanuel couchent à nouveau ensemble.
José invite les familles de réfugiés à venir s’installer au séminaire. C’est la prise d’assaut. Le nouveau directeur veut en faire porter la responsabilité au père Fromenger et demande de ne pas être déranger, « sous aucun prétexte ».
Nous avons également une scène entre un amérindien et le Pape.
Pendant ce temps, le père de Raphaël devient un illuminé perpétuellement plongé dans la Bible. Le fils prend la tête du conseil d’administration et commence sa nouvelle séance par une prière.
Puis le cardinal Roman est à nouveau élu à la tête de la Conférence des évêques de France. Il ne remercie même pas celui qui a orchestré sa campagne électorale.
Le Père Etienne Bosco prie et dit « merci mon Dieu pour le chaos ».