Ainsi soient-ils : résumé de l’épisode 8
« Il y a un prêtre en toi, crois-moi, je l’ai vu tout de suite », dit à Guillaume un des vieux prêtres du séminaire, quand celui-ci lui annonce son désir de partir. « Ceci est une salle de cours, et j’y enseigne normalement la patristique » dit aussi le supérieur entrant dans la pièce où les séminaristes organisent pour les SDF des négociations avec la Préfecture et la couverture média.
Le Président de la Conférence des évêques de France reçoit le Père Fromenger et lui intime l’ordre de demander à la Préfecture de faire évacuer immédiatement le séminaire. Ce dernier refuse, préférant essayer de trouver une solution à l’amiable. Le Père Fromenger est donc obligé de démissionner. L’archevêque de Paris jubile.
Le Père Fromenger dit au revoir à ses séminaristes. De son côté, le nouveau directeur appelle la Préfecture mais José tente de l’en empêcher par la violence.
Dans une nouvelle discussion, Emmanuel tente de convaincre Guillaume de rester au séminaire en lui disant qu’il l’aime et qu’il ne veut pas l’empêcher de suivre sa vocation. S’en suit l’attaque du séminaire par les CRS au gaz lacrymogène, malgré la présence d’enfants, à la demande du nouveau directeur. Ce dernier se balade ensuite dans les ruines de la fuite.
Raphaël dit au-revoir à son amante et annonce à son père son intention de poursuivre son cheminement au séminaire des Capucins. José retrouve la famille dont il a tué l’un des membres – Baptiste Dawes (Frans Boyer), qui lui apparaît en rêve – pour leur demander pardon, mais ceux-ci l’exécutent en forêt et il meurt de plusieurs balles dans la poitrine. (Il sera cependant retrouvé vivant par des promeneurs…)
Le nouveau directeur entame une nouvelle ère sous le signe de la pénitence, avec pour slogan « veiller, faire silence et prier ».
Cet épisode appelle une suite. Une deuxième saison est d’ores et déjà signée…